vendredi, juin 29, 2007

Pendant les soldes sors ta gold


Les soldes d’été ont démarré et je suis allée faire un tour des boutiques, à la recherche des bonnes affaires. Rien à voir avec les files d’attente dès 8h30 du matin devant les Galeries Lafayette parisiennes et les hordes de demoiselles qui courent à en perdre leurs ballerines.
A Besançon, c’est le bonheur de faire les soldes. Tout se trouve dans un rayon de 1 kilomètre et même s’il manque l’incontournable H&M, l’essentiel des boutiques est bien là.

J’ai pu tranquillement déambuler, pleine d’espoir, en quête d’un petit haut Monoprix repéré depuis plusieurs semaines, d’une veste grise sans manche Avant-Première et de pantalons dans la boutique Chattawak.
Malheur, les débardeurs Monoprix n’étaient pas soldés mais j’ai résisté à l’impulsion d’achat.
Aux Galeries Lafayette, j’ai balayé (du regard seulement je vous rassure je ne suis pas maniaque à ce point) le stand mais ma veste grise avait disparu.
Chez Chattawak, en essayant le pantalon que j’avais repéré, je me suis souvenue que j’avais exactement le même qui m’attendait au fond de ma penderie. Ce n’était donc pas vraiment peine perdue, car en le libérant de son cintre, je vais pouvoir faire semblant d’être allée vider mon porte-monnaie pendant les soldes. Les vendeuses avaient vraiment envie de faire du chiffre, alors elles m’ont proposé toute leur gamme, que j’ai essayée docilement… pour finalement repartir avec un marcel blanc étiqueté rouge, c'est-à-dire non soldé. Ce n’est pas vraiment ce qui s’appelle un contrat gagnant gagnant mais je ne me suis pas ruinée. Et puis comme on dit dans les magazines de mode, c’est un ba-si-que qu’il faut toujours avoir dans son placard.
Serez-vous meilleur(e)s que moi à cet exercice?

mercredi, juin 27, 2007

Carré rose


Attention, si vous êtes abonnés à Neuf Télécom, ne vous trompez pas de numéro pour l'assistance technique.


En ce moment, comme beaucoup de gens, on essuie quelques déboires avec notre opérateur; après avoir attendu trois semaines qu'internet fonctionne, nous voila avec un téléphone capricieux qui n'accepte pas de composer tous les numéros. J'ai donc attrapé un courrier Neuf parmi la pile de papiers qui trône sur mon bureau et j'ai téléphoné pour qu'on m'explique le pourquoi du comment. J'apprends alors que le numéro a changé et je mémorise le nouveau numéro.

Comme je m'attendais à attendre un long moment, j'ai commencé à regarder mes mails, ne prêtant pas attention à ce que me racontait l'opératrice... quand soudain mon oreille a capté quelques mots peu en rapport avec les activités de Neuf " Si tu veux te taper la voisine et la lécher un peu partout...".

Une montée de sang au visage, un gros coup de chaud le temps de comprendre ce qui m'arrivait, et j'ai raccroché.


Bref, ne vous trompez pas en composant le numéro de Neuf sinon vous pourriez être surpris...

dimanche, juin 24, 2007

Pedro et le commandeur

Une pièce originale à la comédie française que je ne peux pas vous inciter à aller voir car c'était aujourd'hui même la dernière représentation. Il s'agit de Pedro et le commandeur de Felix Lope de Vega, un dramaturge et poète espagnol, considéré comme l'un des écrivains majeurs du siècle d'or, c'est à dire fin XVIe, début XVIIe.

L'intrigue est assez sommaire : un seigneur tombe amoureux d'une jeune paysanne qui vient de se marier; il tente alors d'enrôler son mari le doux Pedro dans ses armées afin de l'éloigner de l'objet de son amour qui repousse ses ardeurs. Mais Pedro finit par comprendre ce qui se trame, et revient chez lui, surprenant le seigneur en train de violenter son épouse qui lui résiste.

Ce qui fait le charme de cette pièce se situe au niveau de la mise en scène, des décors et costumes. D'un tableau à l'autre, on est surpris par l'ingéniosité des décors qui plongent les scènes dans des atmosphères tour à tour légères, mystérieuses, poétiques ou inquiétantes.
Les acteurs sont tous masqués et se retrouvent affublés de cheveux filasses, de gros nez retroussés et de pommettes saillantes. Leur élocution ressemble à celle de Noël Mamère (et non mammaire comme j'ai failli l'écrire) et leur gestuelle s'apparente à celle des Korrigans ou des farfadets. La lumière, leurs costumes, la musique et le positionnement souvent surprenant de certains éléments du décor donnent de la hauteur à cette trame simpliste qui nous happe petit petit.
On reprend son souffle quand la troupe vient saluer le public et dévoile enfin les vrais visages de tous ces acteurs; on est très étonnés car ils sont tous très beaux, se tiennent droits et sourient sans grimacer.

Il y a quelques longueurs mais les acteurs donnent vie au texte initial en y insufflant une énergie folle. Ca pétarade, ça danse, ça crie, ça grogne et ça chante, le tout de manière très précise et chorégraphiée et on en ressort contents d'avoir vu un spectacle original qui nous entraîne dans un monde inconnu et captivant.

Et pour ceux qui pensent que la Comédie Française ça coûte cher, détrompez-vous ! j'ai réservé hier pour aujourd'hui et il y avait des places à partir de 16€, et dans la salle Richelieu place Colette, aucun poteau ne vient gêner la vue sur la scène.

lundi, juin 18, 2007

Leçon de mode


En feuilletant le livre de recettes de ma grand-mère qui date des années 60, je suis tombée sur de vieilles coupures de journaux vantant les mérites du robot mixeur dernier cri Moulinex ou de la recette en image du pain perdu. Vous savez, ce genre de publicités où une femme plantureuse perchée sur ses talons hauts et au brushing impeccable passe l'aspirateur dans son salon avec une seule main, un air de défi imprimé sur son visage. Elle est fière de cette nouvelle liberté qu'elle vient d'acquérir, celle de faire le ménage sans se fatiguer; et en plus, avec cette trompe aspirante au bout du bras, elle a le temps de se faire belle pour son mari.

Bref, je digresse, et je vous propose plutôt un article de mode dans lequel un choix de chaussures aux prix imbattables est mis en valeur par des textes on ne peut plus vendeurs !
Quelques morceaux choisis des légendes qui agrémentent les photos Dans la lignée des Louis XV. Voici un escarpin fin et racé, doublé peau ou encore Très jeune et très nouveau, voici un modèle tout à fait "dans le vent"...

Donnez du chien à vos coussins


Comment relooker son vieux canapé ? Comment réveiller ses oreillers délavés ? En quelques mots, comment donner du chien à ses coussins ?

La leçon en trois points de Madame A. de Chatenay, célèbre couturière dont je respecte le désir d'anonymat.

1) Acheter un joli tissu au marché St Pierre; préférer le style liberty ou la toile de Jouy, motifs qui font fureur dans les magazines de décoration.

2) Trouver une mercerie pour agrémenter nos housses de quelques fioritures : pompons, croquet...

3) Assembler le tout et positionner les coussins comme suit, une housse de couleur un peu flashy pour couper avec les tissus fleuris.

Et voici le résultat, je vous laisse apprécier par vous-même...

vendredi, juin 15, 2007

Double vie

Comme vous le savez, je mène depuis bientôt un mois une double vie un peu à la façon de Superman alias Clark Kent, le petit collant et la cape en moins.


Mon moi executive woman se lève à l’aube le lundi matin pour attraper le train de 7h direction Paris. Un baise-en-ville de 10 kilos dans la main droite et un ordinateur portable dans la main gauche, je gravis les marches du train, motivée pour profiter du trajet pour travailler. Le chef de gare siffle, le train s’ébranle, mes yeux se ferment…
Arrivée à Paris à 9h37, je cavale tel un lévrier en vitesse de pointe pour arriver au bureau au plus tôt. Là m’attendent un amas de papiers à traiter et des mails de tout le monde avec des tonnes de directives.
Je m’octroie une pause de un quart d’heure pour le déjeuner afin d’engloutir mes fusillis « Marie » réchauffées au micro-ondes puis j’y replonge. Une sur-activité qui met mes neurones en ébullition pendant deux jours et l’exercice le plus difficile consiste à partir le mardi soir avec la conscience d’un travail bien fait et terminé. Car le mardi soir à six heures trente pétantes je reprends mon pas de course de lévrier pour attraper le train qui me ramène à Besançon. En principe le trajet me permet de lire, de tapoter deux trois petites choses sur mon ordinateur, de roupiller un peu et de passer quelques coups de fil interrompus tous les 500 mètres (c’est à dire toutes les deux secondes en conversion TGV) pour perte de réseau. Mais mardi dernier, la SNCF m’avait concocté une jolie surprise : une classe entière de CM2 de retour d’un voyage scolaire…c'est si beau le rire d'un enfant !!!! d'un enfant je veux bien, mais de 20 c'est une autre histoire...

Executive woman en action

A partir de la fin de la semaine, mon moi femme d’intérieur prend le dessus et mes neurones reprennent leur place; il me semble même qu'ils composent des formes géométriques... Commence alors une tout autre vie avec le « Bonne journée et à ce soir » que j’adresse à mon mari du fond de mon lit tout en retardant un peu l’heure de mon réveil… Je me prépare ensuite un pantagruélique petit-déjeuner qui se poursuit par 3 tasses de café avalées au fil de mes activités. Et là je profite de mon temps libre : ballade dans le centre avec passage devant la même petite boutique dont j’aime tant les modèles mais « il faut être raisonnable et attendre les soldes », achat des billets de train pour la semaine suivante, retrait du courrier recommandé à la poste, dépôt de chèques à la banque, papiers à mettre à jour, lecture, mise à jour du blog, piscine, coups de fil à la famille, rangements, organisation de l’emploi du temps conjugal…et bientôt viendront les travaux manuels quand on aura acheté le matériel pour réparer les différents objets sauvés des caves. Et puis Brie Van Der Kamp me rattrape parfois car le souci quand on passe du temps chez soi c’est qu’on devient hyper pointilleux sur l’ordre et la propreté... Brie sort de mon corps !

Femme d'intérieur en action

Shrek



Hier soir nous sommes allés voir le 3e volet des aventures du gentil ogre vert; j'avais beaucoup aimé le premier qui m'avait séduite par son humour décalé et ce deuxième degré qui permettait aux adultes de s'amuser autant que leurs bambins. J'ai raté le 2e Shrek dont les critiques ne m'avaient pas semblées dithyrambiques.

Pour ce troisième épisode de la saga Shrek, on retrouve tous les personnages centraux : l'âne, le chat botté, la princesse Fiona, ses parents, le méchant prince au brushing impeccable Charmant et bien sûr en personnages secondaires tous ceux qui peuplaient nos livres de contes quand nous étions enfants : les 3 petits cochons et le loup, pinocchio, la belle au bois dormant, blanche-neige, Cendrillon, capitaine Crochet...

Le roi Harold se meurt dans une longue scène d'agonie et d'étouffade, et demande à Shrek de prendre le trône pour lui succéder; mais Shrek est incapable de garder des habits propres et n'a aucune envie de diriger un royaume. Il n'aspire qu'à une chose : retrouver son marais pestilentiel et vivre heureux avec Fiona. En mourrant, Harold lui a tout de même confié qu'un jeune Arthur pouvait aussi devenir le nouveau roi si Shrek arrivait à le retrouver.

Ni une ni deux, Shrek et ses amis partent à sa recherche, et au moment de se quitter, Fiona lui avoue qu'elle attend un enfant, une nouvelle qu'il digère difficilement. Le chemin pour retrouver le nouveau roi est semé d'embûches, mais il parvient à mettre la main sur un ado maigrelet et pas sûr de lui. Au passage ils feront la connaissance d'un Merlin l'enchanteur déjanté en blouse trop courte, birkenshtok et chaussettes blanches... Lorsqu'ils reviennent au royaume de Fortfortlointain, Charmant a envahi le royaume avec son armée de soiffards. Heureusement nos héros sont les plus forts et parviendront à reprendre le dessus ! ouf !

Des aventures rocambolesques, un rythme soutenu, et des scènes bien décalées. Le début est un peu lourdingue mais ensuite on rentre dans l'univers Shrekien et on pardonne quelques moments un peu trop scatos. Et puis comme dans le premier opus on écoute avec plaisir les musiques de Eels ou Paul Mc Cartney pour ceux que j'ai reconnus. On ne s'ennuie pas malgré un début un peu lent, et on apprécie vraiment la qualité technique des images.

lundi, juin 11, 2007

les vaches made in Normandie

Le we dernier, cap sur la Normandie et sur les alentours de Dieppe où nous avons posé nos sacs. Nous avons logé dans une chambre d'hôtes au charme rustique, avec têtes de cerfs accrochées aux murs, bois sculpté au canife par le grand-père de notre hôte et ragondins empaillés.

Nous nous sommes promenés cheveux au vent en quête d'un point de vue sans brouillard pour apercevoir la mer.


On a visité une charmante petite église aux vitraux bleux, entourée de quelques tombes, et notamment celle de Braque que je n'ai d'ailleurs pas vue, toute concentrée que j'étais à chercher la mer. On a aussi réussi à échapper à l'entorse sur les plages de galets et on a fait les crabes en train de dorer au soleil.

Et puis sur les coups de 15h nous sommes rentrés dare dare dans notre chambre d'hôtes pour nous préparer au mariage. Un petit coup de brosse, un petit coup de blush, on enfile sa robe, on se lave les dents, on s'allonge le regard comme Benjamine (blague pour les initiés) et hop hop hop on se retrouve devant l'église au milieu des chapeaux et des robes vaporeuses à la mode 2007.

C'était un mariage somptueux suivi le lendemain par un brunch digne d'une garden party à l'Elysée sur une pelouse aussi verte que le géant vert et aussi régulière qu'un métronome.

vendredi, juin 08, 2007

Les chansons d'amour

Une jolie comédie musicale mélancolique, portée par de bons acteurs et principalement Louis Garrel, beau, gracieux et ténébreux.
Je ne vous raconterai pas l'histoire car je serais obligée de vous livrer tout de suite un élément important du film qu'il est mieux de prendre en pleine figure.
Les chansons sont jolies, les acteurs chantent plutôt bien, et le film évoque des thèmes forts comme l'amour, la difficulté d'exprimer ses sentiments, le ménage à trois, l'homosexualité, le deuil... des thèmes lourds exprimés de manière originale dans ces chansons composées pour le film.
Avec Louis Garrel, Ludivine Sagnier, Chiara Mastroianni, Clotilde Hesme...

S'il vous prend une envie de chiner...

Ca y est, internet fonctionne enfin à Besançon donc je vais pouvoir actualiser mon blog de manière un peu plus régulière et vous faire part de mes activités ici.

Le we dernier nous étions de passage à Paris, et nous sommes allés à une brocante qui prenait place dans les coursives du Parc des Princes. Ca a duré deux jours et apparemment cette brocante a lieu tous les trois ou quatre mois donc si vous aimez les meubles anciens renseignez-vous car il y avait des merveilles.

Ni un vide grenier où on trouve des jeux de société incomplets ou les vieux mocassins tressés déformés de Jean-Pierre, ni un rassemblement d'antiquaires qui vendent des fauteuils Louis XV à 12000€.

Là, c'était des stand de qualité et abordables : des affiches, des meubles, de la procelaine ancienne, des lampes de bureau, des miroirs... avec évidemment des belles pièces qu'on pourra s'offrir quand on aura cinquante ans et encore... Des allées assez désertes ce qui n'était pas pour satisfaire les vendeurs mais ce qui rendait la visite plus agréable.

En tapotant sur google je n'ai rien trouvé concernant le calendrier des prochaines brocantes à cet endroit, mais si j'entends parler de la prochaine édition je vous tiendrai au courant.
Voici une photo du petit cadeau qu'on s'est fait pour notre salon : un grand miroir ancien.
Pour l'instant il est par terre mais ensuite on le posera sur notre tour de cheminée qu'il faut d'abord que je ponce et que je repeigne, idem pour le coffre. Joli non?





lundi, juin 04, 2007

La femme du Ve






Avis aux amateurs de Douglas Kennedy… ne lisez pas son dernier livre, vous risqueriez d’être déçus.

Dans « La femme du Ve », il campe l’action de son histoire dans le Xe arrondissement de Paris, où un enseignant américain qui cherche à fuir son passé, décide de s’installer. Harry pense pouvoir nourrir son rêve d’étudiant en passant ses journées dans salles de cinéma du quartier latin et devant son ordinateur à composer son premier roman. Mais une grippe tenace le cloue au lit, le prive bientôt de ses économies et le voila obligé d’accepter des conditions de vie sommaires au milieu de brutes épaisses qui le menacent sans cesse. Là-dessus il rencontre une femme énigmatique qui lui propose un petit 5 à 7 chez elle tous les trois jours et qui semble pouvoir déjouer le destin du héros qui est d’ailleurs un anti-héros.

J’ai découvert cet auteur américain il y a 4 ans environ avec son roman « L’homme qui voulait vivre sa vie », un bon roman qui vire au thriller. Puis j’ai enchaîné avec « A la poursuite du bonheur » qui selon moi est son meilleur livre, et ensuite j’ai persisté avec tous ses autres romans.
Certains font parfois un peu « roman de gare », c’est un peu sévère mais il faut reconnaître que notre ami Douglas utilise un peu toujours la même trame narrative : un homme ou une femme est conduit dans un torrent d’emmerdes dont il ne parvient pas à s’extirper et il est cerné de gens malveillants…ça commence souvent comme un roman ordinaire et ça finit en thriller, c’est d’ailleurs ce qui m’avait séduit dans « L’homme qui voulait vivre sa vie » mais ça a perdu de sa saveur avec les autres. Il s’est même essayé à un style un peu différent en écrivant « Au pays de Dieu », un essai sur la religion que je n’ai même pas terminé, c’est dire.

« La femme du Ve » ne me laissera pas un grand souvenir, d’autant que j’avais tellement plongé dans les deux romans dont j’ai parlé plus haut que je suis encore plus déçue chaque fois que j’en lis un qui ne me captive pas.

A lire en tout cas : « L’homme qui voulait vivre sa vie » et « La poursuite du bonheur ».

En prime, une photo de Douglas parce qu’il le vaut bien…

Tapas sol y flamenco

Pendant le we de la Pentecôte, nous avons fui la grisaille, que dis-je, les orages pour nous réfugier dans la douceur du climat ibérique.

Je dois dire que je n 'étais pas extrêmement rassurée de devoir monter dans l'avion avec tous ces éclairs qui lézardaient le ciel. Mais finalement c'est tout en haut au-dessus des nuages qu'on est le plus en sécurité et c'est impressionnant de dominer tous ces flashs un peu partout. On se sent bien petits et ce ne sont pas les gilets de sauvetage sous les sièges qui peuvent nous réconforter... d'ailleurs j'aimerais bien qu'on me cite un avion qui a su amerrir sans se scratcher. Les compagnies devraient améliorer la qualité des plateaux repas en économisant sur les gilets de sauvetage !


Bref, nous sommes arrivés sains et saufs à Barcelone où nous avons surpris à 2 heures du matin mon frérot endormi qui ne savait pas qu'on venait en force fêter ses 35 ans.


On a bien profité de la ville qu'on commence à connaître mais qui est toujours très agréable à sillonner pour ses rues étroites dans le quartier gothique, ses grandes allées bordées de palmiers et ses avenues commerçantes où l'on côtoie parfois de drôles de statues...notamment celle-ci, intitulée L'homme qui a oublié son slip.




Et puis il y a aussi ces drôles d'immeubles tarabiscotés à la Gaudi et cette sagrada qui n'en finit pas et qui ne se finit pas...




Mais vous me connaissez et à Barcelone il y a quoi d'autre ? hein? hein? il y a aussi les tapas, ces merveilleuses petites portions de bonheur : calamars, gambas, piments, patatas bravas, légumes... que du Jésus en culotte de velours comme on dit chez nous. Je n'ai pas pu résister à l'irrépressible envie qui s'est emparée de moi de photographier ces merveilles culinaires luisantes d'huile d'olive.







Voici d'ailleurs une bonne adresse pour déguster des tapas :


Ciudad Condal Rambla de Catalunya, 18Barcelona -